«De nos adversaires du premier tour, je connais les Etats-Unis et la Roumanie, sans ses mercenaires. La Colombie, de réputation. C’est impressionnant, c’est l’inconnue.» Mais Yvan n’en a cure.
Marc Hottiger est content de son sort, ne regrette pas ses choix : «C’est marrant, car au niveau de la mentalité, je me sens plus proche d’un Valaisan, sans renier mes origines lausannoises.
Enfant de Rarogne, Georges Bregy représente fièrement les couleurs de toute une région, le Haut-Valais, et symbolise toute la tradition d’un club qui a fourni des grands noms au football.
Heureusement pour elle, la majorité du public qui garnira les travées des stades brésiliens n’était même pas née en 1950 et n’a qu’un souvenir diffus de l’affront suprême, de la puissante humiliation contre l’Uruguay.