La demi-finale de 2008, je l’ai vue dans un petit bistrot turc du bas de la Ville et c’était extraordinaire d’ambiance et de convivialité. J’aimerais bien revivre ces instants de partage.
Après la déception de ne pas voir Kasami ou Abdi dans la présélection de Petkovic, on a fait un gros «ouf» de soulagement quand il a pris la décision de ne pas emmener Senderos.
La Croatie et son maillot unique reconnaissable entre tous est prête à en découdre avec ses trois redoutables adversaires du groupe D, avec notamment un premier match contre les Turcs qui devrait valoir son pesant d’émotions et de tension ! 1.
Privé de Kompany, blessé une fois encore, Marc Wilmots a modifié ses plans, décidé de ne pas mourir avec ses idées et s’en ira visiter ses terres bordelaises (il a une maison dans le coin, souvenir de son passage chez
Les Tchèques disputeront leur septième Euro d’affilée. Balaise ! Mais pour cette édition 2016, il faut bien avouer qu’ils représentent une grosse inconnue.
La Roja a remporté trois des quatre derniers gros titres internationaux et ne revient pourtant que rarement tout en haut des pronostics avant l’Euro 2016. Mais pourquoi donc ? 1.
Qualifiés pour la première fois de leur histoire pour un Euro, les pensionnaires du Windsor Park de Belfast vont déferler sur la France à grands coups de pintes, de dents noires, de drapeaux à la main rouge et de chants
Attendus notamment à Nice et Marseille (et pas seulement en sous-traitance pour réparer la tuyauterie), les Polonais espèrent faire taire les clichés, tout en en ramenant quelques-uns de jolis… 1.
Les jaunes et bleus se frotteront en amical à deux futurs adversaires de la Nati juste avant d’entrer en scène contre les champions du monde allemands.