Gallas, le pari perdu de Wenger

Arsenal est en mauvaise posture. Bien entendu, le Français n’est pas le seul responsable des récents résultats très moyens des Gunners, mais le capitaine d’Arsenal agace son monde par un comportement qui ne correspond absolument pas à ce que les supporters du club attendent. La rumeur se fait insistante, Gallas aurait été écarté du voyage à Manchester City et le brassard de capitaine changerait de propriétaire ! Enfin !

Coupe du Monde 2006. De Stuttgart à Berlin, l’équipe de France de Raymond Domenech parcourt l’Allemagne victorieusement. Il faudra une perte de nerfs de Zidane, une barre de Trezegol et une réussite finale de Grosso pour que la Squadra Azzura brise le rêve des Bleus. William Gallas, très solide durant toute la compétition ne peut que constater le triomphe italien. A son retour à Londres, les négociations et les discussions pour son transfert à Arsenal commencent…Rempli de fierté, le brave William se plaint d’avoir été mal traité par les dirigeants de Chelsea. Le pauvre. Double vainqueur du championnat avec la bande montée à coups de millions par Abramovich, Gallas estime avoir été trompé par les dirigeants des Blues qui aurait attendu trop longtemps pour lui proposer un contrat valable, digne de sa personne.
« Même avec un salaire de galactique je ne jouerai plus pour Chelsea » clame le joueur qui décide d’aller au clash avec le board en menaçant de marquer contre son camp s’il devait être forcé de rester. Drôle de caprice. Déjà. Chelsea cède et profite de l’occasion pour se mettre d’accord avec les Gunners à propos d’un échange entre Ashley Cole et William Gallas + quelques millions de livres. C’est le foot moderne, Cole,  enfant d’Highbury, fan d’Arsenal, lâche son club alors que celui-ci vit un épisode important de son histoire en changeant de stade pour rejoindre Chelsea alors que Gallas, latéral gauche de l’ennemi Blue, peu apprécié lors de ses visites à Highbury, rejoint Arsenal. Bel exemple de fidélité les mecs.
Gallas débarque dans une équipe finaliste de la Ligue des Champions 2005-2006. Certes Sol Campbell quitte le club par le petite porte et un renfort défensif est attendu pour pallier son départ, mais personne ne s’imagine vraiment voir arriver le Français tant la paire Touré-Senderos a bien fonctionné, aidant Lehmann à garder la cage des Gunners inviolée durant la seconde phase, finale exceptée. Déjà pas franchement ravi d’être utilisé sur le flan gauche à Chelsea, on se doute bien qu’il ne change pas de club pour continuer à jouer à ce poste. Les rumeurs vont bon train et hormis des débuts comme latéral à la place de Clichy, blessé, Gallas s’installe rapidement dans l’axe de la défense aux côtés de Kolo Touré. De gabarit à peu près identique, pas vraiment fanatiques des duels de la tête, le duo n’est pas complémentaire et son efficacité peine à être démontrée. Gallas, incompréhensible successeur de la légende Dennis Bergkamp avec le No 10, souvent blessé durant sa première saison, profite de chaque point presse pour remettre une couche sur la manière dont Chelsea l’a traité et se plaindre de choses et d’autres. Pénible le garçon. Mais ce n’est que le début.
Eté 2007. Thierry Henry quitte le club et laisse le poste de capitaine vacant. Gilberto Silva, taulier du club et Kolo Touré sont pressentis pour prendre la relève. Hélas, le brésilien joue la Copa America et se fait prendre sa place – à juste titre d’ailleurs – par un très bon Flamini et ne peut remplir ce rôle. Wenger hésite et décide de préférer Gallas à Touré. Stupéfaction chez les fans. Pourquoi est-ce que quelqu’un qui n’est au club que depuis une saison, qui plus est très moyenne, qui a porté le maillot de Chelsea, hérite t-il du brassard ? Wenger invoque le fait que le capitaine doit voir les choses de derrière, qu’il a pleine confiance en William, que c’est un guerrier, le candidat idéal prêt à prendre des responsabilités. Well. Arsène knows alors wait & see. Ca ne commence pas trop mal, six premiers mois de compétition en fanfare, Arsenal enchaîne les grosses performances, l’équipe tourne et le rôle de capitaine est assez « facile » à tenir. A la limite on ne sait même pas qui est capitaine. Mais à la première complication, Gallas craque.
 
23 février 2008, St-Andrews Stadium de Birmingham. Arsenal, en tête du championnat, vit un véritable cauchemar avec la blessure de son homme en forme Eduardo. Au passage, j’en profite pour répéter que si le Croate n’avait pas été victime de cet attentat de Taylor, les Gunners auraient soulevé le trophée de champion au mois de mai. Mais revenons à notre mouton. Birmingham ouvre le score mais Arsenal réagit en seconde période. Un doublé de Walcott donne l’avantage aux siens et on semble s’acheminer sur un succès des hommes de Wenger. Mais dans les arrêts de jeu, Clichy est étourdi, perd le ballon, commet une faute discutable et l’arbitre dicte pénalty. Fou furieux, Gallas s’en va de l’autre côté du terrain et regarde l’égalisation des locaux assis et résigné. Les images du capitaine essayant de passer sa colère en tapant du pied dans les panneaux publicitaires feront le tour du monde.
Le championnat a basculé et William Gallas s’est ridiculisé. Cet épisode confirme que cet homme n’est pas un leader. Imaginez une seconde Tony Adams ou Patrick Vieira se comporter de la sorte. Imaginez les un instant abandonnez l’équipe et ne pas défendre la cage de son équipe après un éventuel renvoi du portier. Inimaginable car impossible, mais impossible n’est pas Gallas. La presse se déchaîne à raison mais Wenger ne cède pas et confirme William dans sa position. Quelques semaines plus tard, encore dans la course au titre, Arsenal se rend à Chelsea. Gallas tente de motiver ses troupes durant l’échauffement devant les caméras attentives de Sky. Nouveau moment de solitude pour le capitaine tant ses partenaires ne prêtent pas ou peu attention à ses paroles. La fracture semble réelle. Arsenal finira la saison au 3ème rang.
 
Durant la récente intersaison et après un Euro raté pour Gallas et la France, les supporters attendent un changement de capitaine et la nomination de Cesc Fabregas. Quel meilleur symbole que le jeune espagnol pour marquer un changement de mentalité ? Mais Wenger n’aime pas avoir tort et assure une nouvelle fois que Gallas et l’homme de la situation, il sera encore le skipper pour cette nouvelle saison. Pire, Senderos paye au prix fort son match raté à Anfield et, malgré ses bonnes performances aux côtés de Touré ou Gallas lors des absences de l’un ou de l’autre, est prêté à l’AC Milan et Silvestre rejoint le club pour faire de la charnière centrale des Gunners la paire d’arrière la plus grande gueule de l’histoire du foot. Malheureusement pour Wenger, la formule ne marche pas et après seulement 13 journées de championnat le titre est perdu pour Arsenal. Fautif et responsable sur les buts encaissés lors des défaites contre Fulham (1-0), Hull (2-1) et Villa (2-0), Gallas se permet d’avoir des réactions d’enfant gâté hystérique lorsque ses coéquipiers font une erreur alors que son rôle demande d’être un leader, un mobilisateur. Le vestiaire n’a plus confiance en lui mais Wenger ne cède toujours pas. Avouons sa grande performance contre Manchester United, mais ne perdons pas de vue le reste.
 
Pas satisfait d’avoir la grande majorité des fans contre lui il doit encore se mettre à dos ses coéquipiers. C’est chose faite en critiquant ouvertement les jeunes pousses d’Arsenal sans citer de noms. Van Persie et Nasri semblent visés, semblent avoir mal parlé à Monsieur Gallas, mais en réalité le mal est plus profond. Le capitaine est indésirable. Quel manque de classe, quel manque de jugeote, quelle bêtise. On lave son linge sale en famille et plus encore quand la famille est malade. Le temps de Gallas est révolu. De toute façon il n’a jamais été un « Arsenal Man ».  Personne ne va pleurer. Wenger semble avoir compris, pour la première fois depuis son arrivée au club il change d’avis, il se donne tort. Ecarté pour le prochain match, on ne devrait pas revoir de sitôt William et son melon sous le maillot des canonniers. Ca s’appelle un abandon, il connaît ça et comprendra. Mais ça s’appelle aussi un juste retour des choses. Un au revoir et surtout pas le moindre merci. Pour ce qui est du terrain, aux anti-Gallas de donner une vraie réponse. Il serait temps aussi.

Écrit par David Despont

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34 Commentaires

  1. mon cher David, merci pour cette belle semelle sur notre ami Gallas, qui le mérite largement.
    De toute manière des que ces sommités ouvrent leurs gueules ils sont perdus car les tabloids anglais vont se régaler pour en remettre une couche….incroyables que ces melons vides n’apprennent pas à se controler en face d’un ‘journaliste’ !…in peut toutefois se demander pourquoi Wenger lui a fourgué le brassard en premier lieu…

  2. Il faudrait qu’Arsène comprenne qu’on en a marre des français à Arsenal!!
    Déjà Gallas est horrible, comme l’article le dis si bien, mais alors rajouter Sylvestre…
    Une charnière centrale d’horreur, dommage pour les supporters qui aiment le beau jeu de la meilleure équipe du monde!

  3. Gallas est un sale con, une putain de grande gueule que si je n’étais pas de bonne humeur après un excellent week-end, je dirais: comme toute la French connection d’Arsenal depuis 10 ans 😉

  4. L’amertume du petit romand francophobe dans toute sa splendeur. Arsenal propose un des plus beaux jeux depuis des années, notamment avec ses français, mais vu que c’est des français ben l’amer romand doit forcéement déverser sa bile.

    Quand vous aurez une équipe de renom menée par un suisse, truffée de joeur suisse et qui propose un jeu attractif, vous pourrez commencer à ramener votre geule.

  5. David mon ami,

    Je te connaissais d’énormes qualités, mais pas celle d’écrire aussi bien et surtout contre un joueur de TON club.

    Avec mes accolades,
    Ton Canard :-))

  6. @sekant

    Lucien Favre essaie (et réussis plutôt pas mal) de faire une swiss connection à Berlin…

    Très bon article et vivent les gunners !

  7. @ Sekant

    Je suis pas sur que je comprenne ton intervention ?

    ‘ Quand vous aurez une équipe de renom menée par un suisse, truffée de joeur suisse et qui propose un jeu attractif, vous pourrez commencer à ramener votre geule.’

    Veux-tu tirer une comparaison avec Arsenal qui est emmené par un Ivoirien (Kolo Toure), un Espagnol (Fabregas) et un Togolais (Adebayor)…pour nommer seulement ses meilleures ‘étrangers’. ?

  8. @cc,

    Mon intervention est relativement simple – il s’agit d’une réponse aux deux postes qui précédent le mien, soit:

    « Gallas est un sale con, une putain de grande gueule que si je n’étais pas de bonne humeur après un excellent week-end, je dirais: comme toute la French connection d’Arsenal depuis 10 ans 😉  »

    « Il faudrait qu’Arsène comprenne qu’on en a marre des français à Arsenal!! »

    Arsenal a brillé au cours des dix dernières années, notamment grace à certains cadres français (doublé championnat-cup, imbattu de toute la saison avec Viera à la barre par exemple). Mais vu que c’est des français, le Romand doit forcément vomir dessus.

    Donc comme je l’ai dit, le jour ou vous aurez accompli ce genre de performance, vous pourrez commencer à critiquer.

  9. Superbe papier mon Deps, t’es en toute grande forme !!

    Gallas, il ne faudra pas l’oublier pour le Pigeon d’Or 2009 !

    Amitié et santé de Karon Beach !

  10. Merci Deps!
    T’arrive toujours à écrire quasiment ce que je pense…
    J’espère voir Cesc capitaine demain contre Kiev, c’est celui qu’il nous faut, un mec qui vit Arsenal!! C’est des capitaines comme Keown, Vieira ou même Henry qui lui ont enseigné cette culture Arsenal!! CESC FOR CAPTAIN!!!

  11. @ Sekant

    Vous avez raison pour une partie. La « French Connection » a été il y a quelques années une des raison du succès d’Arsenal.

    A l’heure actuelle c’est un peu moins vrai, mais peu importe. Quand Vin100 l’ouvre pour dire que Gallas est un con, je pense qu’il démontre en quelques mots qu’il est encore plus « con » que le joueur qu’il insulte… C’est navrant de voir des commentaires venant d’abrutis noitoires comme ce type.

    Enfin bon, Gallas a fait son boulot à Arsenal de façon honorable ces 2 dernières années. Quand on voit le niveau passable proposé par votre compatriote Philippe Senderos, je ne vois pas de quoi Gallas aurait à rougir…

    Enfin, encore un article au vitriol sans fondement autre que les pulsions viscérales d’un journaliste sous la pression des ventes…

  12. Ce n’est pas surprenant, Gallas m’a toujours paru sur un terrain comme en dehors un gros pleurnicheur.
    Mais regardez le, il est toujours entrain de se plaindre, d’avoir les larmes aux yeux dès qu’il y a une percée dans « sa défense ».
    Il est fini, plus de physique, plus de niak,… plus un grand club ne le voudra, quoique, il y a des fous dans le sport!

  13. On peut encore ajouter en complément:

    1) que sans Gallas, Arsenal s’est pris trois buts ce weekend,

    2) que Gallas sera titulaire pour le match de champions league de cette semaine (donc il est loin d’avoir joué son dernier match avec Arsenal

    3) que si vous allez faire un tour à Londres et discuter avec des fans d’Arsenal, ils vous diront que Gallas est en effet une tête de cochon mais un bon défenseur. Et que ce dernier qualificatif ne s’applique certainement pas à l’héro de l’auteur de l’article soit Senderos.

    Là, je dois dire que je trouve la ligne de l’article assez drole: Wenger, ce mauvais entraineur, s’est fourvoyé en choissisant le médiocre Gallas (double champion d’angleterre, vice-champion du monde) plutôt que l’excellentissime Senderos. D’ailleurs, le fait que Wenger a tort est démontré par l’exellent carrière de Senderos à Milan (où il est en compétition avec des quarantenaires).

  14. Gallas à Arsenal, ça a jamais vraiment collé. Les supporters des gunners ont fait preuve de beaucoup de civisme lors de son échange avec Ashley Cole, un enfant du club. Wenger devait beaucoup y croire pour leur infliger ça, et il s’est planté.

    Pour Senderos, au moment de ce transfert malheureux, il sortait d’une fantastique série de blanchissages aux côtés de Kolo Touré. L’arrivée de Mister G a cassé quelque chose, il n’est plus le même depuis. Quelques séries de bons matchs, quelques boulettes, les dernières au printemps contre Liverpool en Champions’s league ont scellé son destin à Arsenal. Mais c’est un mec intelligent et bosseur. S’il dure et ne se blesse pas trop souvent, ce sera un des grand défenseurs centraux de ces prochaines années.

    Arsène a encore quelque crédit à Arsenal, mais au rythme « Bushien » auquel il les fusillent en ce moment, il pourrait se faire débarquer à la fin de l’année. Sa langue de bois / mauvais foi n’étant pas étrangère à sa baisser de popularité du côté de Ashburton Grove.

  15. @sekant & benjamin 21000
    1: j’ai le droit de penser que Gallas est un gros con
    2: j’ai le droit de penser qu’il est mauvais
    3: je vous emmerde, profondément !

    4: votre argumentaire est intéressant, mais le simple fait de penser que Gallas est un bon capitaine vous discrédite de tout…

    5: au-delà de toutes ses performances, l’article de Despont a pour objectif, si je l’ai bien compris, de dire pourquoi Gallas n’est pas un bon capitaine, pourquoi en ce sens c’est le paris perdu de Wenger… Pourquoi vous l’emmerdez au juste ?

    6: vraiment je vous emmerde messieurs !

  16. Personne n’a argumenté que Gallas était un bon capitaine mais que:

    1) il était bien meilleur que Senderos, et son palmarès le prouve;

    2) la French connection a contribué à faire d’Arsenal ce que ce club est.

    Mais l’évidence, apparemment, ça blesse énormément.

  17. @ sekant

    Tu as lu l’article ou quoi ? Je vois pas en quoi Senderos est le héros de Despont… Il constate juste que le départ du Suisse a été provoqué par le confiance aveugle de Wenger en Gallas ! Il rendrait bien des services le Senderos quand on voit qu’il faut mettre le médiocre Song en défense centrale !!!!!

    Il ne dit pas que Wenger est un mauvais entraîneur, mais qu’il s’est trompé et que le fait d’avoir fait confiance à cette grande gueule de Gallas était une erreur. Gallas est un défenseur solide, sa carrière le prouve, mais cette saison c’est un joueur moyen, qui a perdu son crédit en parlant bcp trop et en prouvant que ce n’est pas un gars digne d’être capitaine d’un grand club. Il est juste un porteur d’eau dans une équipe, comme à Chelsea, comme en équipe de France, comme à Arsenal. Point barre.

    Pour ce qui est de ton chauvinisme français à deux francs, si une simple attaque de vin100 te fais perdre ton temps avec autant de commentaires qui se mordent la queue et bien tu es pas sorti d’affaire !!

  18. @vanilla,

    T’a lu l’article ou bien ? Il constate que Senderos est en tout point excellentissime alors que Gallas est non seulement une grande geule, il est de plus médiocre, médiocre depuis le jour où il a mis le pied à Arsenal. Il a commis un crime de lèse-helvétie parce que bien qu’étant mauvais, il a pris la place Senderos qui donnait 100 pourcent de satisfaction avec Touré (ce qui explique parfaitement pourquoi Wenger a estimé qu’il avait besoin de quelqu’un d’autre que Senderos).

    Comme toi, l’article exprime tout simplement la morgue romande dès que l’on parle d’un français. Parce que le Romand, il arrive pas à accepter qu’un français pourrait être bon dans un domaine, ou même arriver à la cheville d’un Suisse.

    Mais si t’es un si fin connaisseur d’Arsenal que ça, va un jour discuter avec des vrais supporters à l’Emirate et pose leur la question: que pensez-vous de la valeur intrinsèque en tant que défenseur de Gallas puis de Senderos! J’ai déjà poser la question au sujet de Sendros et c’est loin d’être flatteur. Le point de vue sur Gallas est que c’est une tête de con mais un bon défenseur.

  19. Juste pour mettre les choses au point: je n’ai jamais aimé la french connection d’Arsenal, désolé ! Moi les Pirès, Henry, Vieira ne m’ont jamais foutu la trique, désolé ! Pas plus que l’équipe de France de 98, désolé encore !

    Par contre les Bergkamp, Wright, Adams eux m’ont foutu la trique ! Comme Fabregas du reste…

    Alors quoi, j’aime pas le football ? C’est vrai qu’à part la Fench Connection d’Arsenal y’a rien dans le football… De Milan au Real, en passant par le Barça, Manchester ou la Juve, non y’a rien d’intéressant dans le football…

    Quand au petit con de merde (et je pèse mes mots !!!) qui nous fait des théories sur la pseudo frustration des romands, ravale ta langue, parce que ta démonstration est misérable !!!!

    Quand la France aura fabriqué des Tsonga, des Bernard, des Zidane à tour de bras, des sportifs puissants, forts, de niveau mondial, mais qui gardent les pieds sur terre et n’ouvrent pas leur grande gueules de cons à faire des théories sur tout et surtout à prendre tout le monde haut, ben peut-être que là on s’en tiendra à notre pain quotidien ! En attendant, n’espère pas éviter des volées ci et là parce que vous les méritez bien !

    Et commence à dire à ton jeune babouin de Gilles Simon que ce n’est pas en suivant les traces de Paul-Henri Mathieu qu’il y a arrivera, mais en regardant un peu comment Tsonga gère les médias…

    Pendez-vous haut, pendez-vous court, mais ne vous ratez pas…

  20. Et bien Vin100!! Quelle claque! 😉

    Et bien c’est clair qu’Arsenal a une vraie grande histoire de club bien avant l’arrivée des frenchies….mais bon certain connaissent le foot depuis un fameux 12.07.1998, voir encore moins loin.

    Petite anecdote piquante: Le Milan AC aurait des vues sur un engagement de … Gallas.
    Retour de Senderos à Arsenal?

  21. Toujours la même arrogance et la même morve des petits frustrés de suisse, qui vomissent sur leur voisin respectif (que ce soit les Romands avec les Français, les Alémaniques avec les Allemands ou les Tessinois avec les Italiens).

    L’arrogance de gens qui définissent leurs voisins de grande gueule, alors que la leur est deux fois plus grandes et alors qu’ils n’ont rien à faire valoir. Du genre équipe de foot qui n’a jamais produit un jeu quelque peu attractif, qui n’a jamais gagné le début de quelque chose et qui annonce qu’elle va gagner le championnat d’Europe (pour s’écraser misérablement). Dans le genre pathétiquement arrogant, vous êtes dans votre propre ligue.

    Lorsque vous aurez produit ne serait-ce qu’un seul joueur de foot du niveau de Zidane, Vieira ou Platini, vous pourrez commencer à avoir une légitimité dans la critique. Entre temps, vous restez ce que vous êtes: des frustrés qui comblent leur frustration en vomissant sur leur voisin.

  22. Et si tu veux parler des joueurs de tennis, la somme de l’ensemble des tennismen français n’arrive pas à la cheville de la suissesse Hingis en ce qui concerne l’arrogance et la grande gueule.

    Quand à Gilles Simon, c’est un gars discret qui a fait une super année. Mais je suppose que ça doit vraiment te faire mal pour chercher à lui casser du sucre sur le dos.

  23. super article.. c exactement sa.. se con de gallas.. il gagne pa un seul duel de la tete.. il est tro lent.. tro nul.. faut le viré cette grosse merde..

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