En août 2011, Javier Poves, du Sporting Gijon, avait défrayé la chronique en rompant unilatéralement son contrat parce que le football «n’est qu’une histoire de fric».
Parce qu’on le préfère à Shaqiri.Trois semaines aux Jeux Olympiques avec Morganella, on comprend qu’il veuille changer de pays.Choisir de défendre les couleurs d’une contrée défavorisée plutôt que celles d’un pays riche est louable et témoigne d’un admirable
La liste de ces stars internationales est impressionnante. A commencer par le Dieu vivant, Diego Maradona en personne. «El Pibe» a toujours revendiqué son admiration, sa vénération même, pour son prestigieux compatriote.
L’opération «On va péter la gueule aux Lémaniques» s’étant ouverte de fort mauvaise manière jeudi soir dans l’antre de titi des Pâquis, il s’agissait de faire au minimum moins pire contre le LHC dans ce classique des classiques de la
Certes, le limogeage de celui qui était qualifié d’entraîneur digne de la LNA par sieur Bastardoz himself, n’aura pas été accueilli de façon unanime, mais la plupart des supporters et des joueurs souhaitaient un changement dans le vestiaire.
Schwarzenburg, BENotre périple numérique commence sur un célèbre moteur de recherche et nous fait d’abord atterrir dans une charmante bourgade du canton de Berne.
Y figurent des espèces redoutables qui donneront le frisson aux dames et aux enfants, genre le «Maradona des Carpates» ou l’«Australien volant», un président bavard à grosse voiture, un entraîneur con comme une porte de grange et enfin des joueurs
La dynastie se perpétueDécidé à maximiser ses profits dans l’architecture, l’Empereur valaisan décide d’installer son fils sur le trône déjà taillé pour l’accueillir. Papa continue à injecter du «pognon» mais fiston a les pleins pouvoirs sur les dépenses.