Comme nous avons la chance d’avoir un Belge pur souche et une fan de Zlatan à la rédaction, nous vous offrons le premier compte-rendu DuoPack de l’histoire de Carton-Rouge. Honneur aux dames :
Adieu Zlatan. On t’aimait bien, tu sais!
On ne tire pas sur une ambulance. Les suédois vont devoir plier bagage… La Suède montée et démontée vite fait… Zlatan sans gloire… Adieu au roi… Il va nous manquer… Bon débarras… Le clone de Zlatan tombe le masque… Le vrai était à la pêche au saumon… Hahaha que de titres à la con va t’on pouvoir lire dans la presse internationale…
Le résumé.
Même pas la faute de l’arbitre ou à la pelouse. La faute à pas de chance. Pas de réussite. Un Zlatan à coté de son sujet depuis le début de la compétition. Bref ! Nice n’était pas vraiment la promenade des Suédois…
L’homme du match.
Allez.. Je chiale comme une gamine devant la pub de Volvo et l’hommage à ce bel homme, ce grand joueur atypique qui tire sa révérence et s’en va par la petite porte.
La buse du match.
Pas de réelle buse sur ce match assez moyen et triste. Mais on n’a rien non plus pour dire que la Suède méritait de rester dans la course.
Le tournant du match.
Même pas le but belge qui a scellé le sort de la Suède. On s’est beaucoup époumoné pour rien au final… Côté fan club.
Le geste technique du match.
Arrêtez de retourner le couteau dans la plaie…
Le geste pourri du match.
La phrase pourrie, plutôt : « La manière on s’en fout un peu », comme dit Eden Hazard. C’est sympa pour les cochons de payants!
Ce match me fait penser à…
Un mauvais rêve mais quand on va se réveiller on sera les pied dans l’eau du fleuve Österdalälven, comme des cons, à taquiner le saumon.
L’anecdote.
J’ai eu droit à un magnifique plantage de mon mac book en première mi temps et de mon autre mac de secours en deuxième… Comme si les dieux de l’informatique se refusaient à diffuser ce genre de mauvaise nouvelle pour le royaume.
La minute Pierre-Alain Dupuis.
« À force de tout rater, Zlatan va se faire éliminer »
Le tweet à la con.
#EuroCR : Ce n’est pas Zlatan qui chante l’hymne. C’est l’hymne qui chante Zlatan
La rétrospective du prochain match.
1,2,3 soleil !
Nadine Crausaz
Les Diables s’imposent sur la baie des Anges
REVÊTUS DE CE MAILLOT QUI RESSEMBLE FURIEUSEMENT À CELUI DE NOTRE ÉQUIPE NATIONALE CYCLISTE, LES DIABLES ONT CONSTRUIT UN SUCCÈS « À LA PHILIPPE GILBERT »: PATIENCE, RÉSISTANCE AUX VENTS CONTRAIRES ET ACCÉLÉRATION FINALE VICTORIEUSE.
Le résumé.
Victoire contestée ardemment, mais au bout du compte, quel a été le gardien le plus sollicité ? Les mauvaises langues diront que les Diables ont été vernis par moments, mais la chance, on la force. En se montrant patients et incisifs au bon moment, les Belges ont surmonté quelques frayeurounettes, mais n’ont pas eu à se tracasser plus que de besoin.
L’homme du match.
Ninja « punk à chien » Nainggolan. Quel but!
La buse du match.
Zlatan. Même pas être capable de lober le tout petit Kevin De Bruyne au point de lui faire une passe sur la ligne de but. Franchement, pfff… (en fait, la clette du match, c’est Carrasco, mais chut!)
Le tournant du match.
La passe de Zlatan sur la tête de KDB.
Le geste technique du match.
Le tir de punk à chien. Chimiquement pur.
Eden Hazard’s assist to Nainggolan for Belgium’s winning goal [via @ChelseaRelated] #BEL pic.twitter.com/VwmynYBBfz
— Hazard Stuff (@HazardStuff) 22 juin 2016
Le geste pourri du match.
Match correct dans l’ensemble. Je retiens une semelle suédoise en tout début de match et un coup de coude de Witsel à environ 15 minutes de la fin.
Ce match m’a fait penser à…
L’anecdote
Pendant sept ans et jusqu’à son départ à la retraite, j’ai bu le champagne chaque vendredi midi avec une collègue suédoise.
La minute Rodrigo Beenkens (commentateur attitré des Diables pour la RTBF)
« Sept joueurs belges qui débutent ce soir jouent en Premier League. Serions-nous sur notre promenade des Anglais ? »
Le tweet à la con.
#EuroCR : Zlatandais, mais zlil n’est pas venu.
La rétrospective du prochain match.
Les Diables héritent d’un tableau formidablement à leur portée. On dégomme les Hongrois, on retrouve les Gallois et puis, qui sait, on est partis vers l’exploit!
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