Euh… Ben si quand même, j’aurais bien aimé. Ce ne serait pas complètement un luxe. Même sur le banc hein, et on le ferait rentrer à la 88ème au lieu de faire rentrer Fassnacht.
Le match en trois mots
Même pas peur.
L’homme du match
Ne boudons pas notre plaisir : Haris Seferovic a sorti une vraie deuxième mi-temps, buteur, passeur (c’est lui qui lance Zuber sur le deuxième but)… Reste pour lui à prouver qu’il est capable de refaire cela contre une autre équipe que l’Islande, et si possible pendant deux mi-temps. Sinon, Mvogo, qui dans les dix dernières minutes à réussi quelques claquettes que Fred Astaire n’aurait pas reniées.
La buse du match
Zuber, qui aura passé 87 minutes à nous faire de la peine. Pour 20 secondes de plaisir quand il fait indirectement la passe sur le second goal.
Le tournant du match
Le discours de Petko à la mi-temps. Tu récupère une équipe qui n’a pas touché la balle durant les 30 dernières minutes et ils reviennent en guerriers. Je ne sais pas ce qu’il leur a promis, mais ça devait être bien sale.
Le geste technique du match
La coupe de cheveux de Moubandje.
Le geste pourri du match
Alors en première mi-temps, entre les passes en retrait douteuses de Moubandje/Je-bande-mou, les fautes grotesques de Gavranovic, Shaqiri qui laisse systématiquement la défense islandaise se replacer avant de passer, Zuber et Zakaria invisibles et Sefe qui n’a strictement rien fait (en fait si, il a obtenu une touche), n’en jetez plus, il y a des trains fantôme qui auraient pu s’en inspirer.
L’anecdote
Tu veux gagner un pari avec des potes ? Annonce leur que l’Islande est le premier pays d’Europe exportateur de banane
Et sinon, dans les tribunes ?
Une photo des Suisses par les copains sur place, merci les gars.
La minute Pierre-Alain Dupuis
« J’ai le plaisir d’accueillir Ragnar Michel Pontsson », David Lemos, c’est quand tu veux pour une pige à CR. Et à la rentrée de Edimilson, Philippe Von Burg qui signale qu’il n’est pas Islandais. Arf.
La rétrospective du prochain match
Le dimanche 18 novembre, quart de finale de la Ligue des Nations contre la Belgique. Exactement le genre de matches à enjeu dont la Suisse s’est faite la spécialiste ces 10 dernières années.
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