S’il y a bien un classement dominé par Fribourg-Gottéron cette saison c’est celui des défaites après le temps règlementaire. Huit rencontres, cinq défaites après les soixante minutes. Voilà qui est pour le moins surprenant.
Quelle est l’une des différences les plus flagrantes entre le Fribourg-Gottéron moribond de la saison passée et celui d’aujourd’hui ? Evidemment, plusieurs réponses peuvent s’avérer exactes, mais pour moi, la résurrection de Michael Ngoy est la plus saisissante.
Le site officiel l’annonçait dans sa présentation du match : rien à craindre de Langnau. En effet, le bilan comptable est largement favorable à Genève-Servette depuis son retour dans l’élite.
Les lendemains d’hier sont difficiles. On le savait déjà avec la relégation en 2e ligue interrégionale en 2003. Lausanne, après avoir vécu au-dessus de ses moyens et tutoyé les sommets, touchait le fond.
Alors d’où viennent ces dénominations ? Ils sont en général liés à l’histoire, à la politique où à la géographie de la région. On retrouve un grand nombre d’appellation ayant une origine géographique découlant de l’emplacement du stade dans l’agglomération.
Malgré la forte présence de couleur kaki, qui faisait penser à la présence d’une troisième équipe, la rencontre se déroula dans une ambiance des plus bon enfant.
Une origine nordiqueLe unihockey ou floorball est un sport apparenté au « bandy » – sport précurseur du hockey sur glace – et a vu le jour en Europe du Nord*, plus particulièrement en Suède, dans les années 1970.
Voilà donc le résultat de deux ans d’expatriation… Je pensais quitter la Suisse sans trop de regret tant l’ASL était devenue une copie conforme du championnat de Formule 1. Le FC Bâle d’un coté, Schumi de l’autre.