Le premier événement du match était bien évidemment le retour de Wes Snell aux Vernets dans le rôle qu’on lui préfère : adversaire. Relevons au passage l’irresponsabilité totale de la réception qui lui fut faite.
Cinq défaites lors des sept premiers matches, un moral à zéro et un jeu collectif proche du néant. S’en était trop pour les dirigeants qui débarquèrent mercredi dernier (enfin! diront certains) l’entraîneur finlandais Heikki Leime.
Fervent lecteur du Temps, j’apprécie beaucoup les styles et la connaissance de journalistes tels que Richard Werly, Emmanuel Garessus ou Alain Campiotti. J’aime aussi la liberté d’expression d’Ariane Dayer ou Charles Poncet qui paraissent dans l’Hebdo.
S’il y a bien un classement dominé par Fribourg-Gottéron cette saison c’est celui des défaites après le temps règlementaire. Huit rencontres, cinq défaites après les soixante minutes. Voilà qui est pour le moins surprenant.
Quelle est l’une des différences les plus flagrantes entre le Fribourg-Gottéron moribond de la saison passée et celui d’aujourd’hui ? Evidemment, plusieurs réponses peuvent s’avérer exactes, mais pour moi, la résurrection de Michael Ngoy est la plus saisissante.
Le site officiel l’annonçait dans sa présentation du match : rien à craindre de Langnau. En effet, le bilan comptable est largement favorable à Genève-Servette depuis son retour dans l’élite.
Une origine nordiqueLe unihockey ou floorball est un sport apparenté au « bandy » – sport précurseur du hockey sur glace – et a vu le jour en Europe du Nord*, plus particulièrement en Suède, dans les années 1970.