Super League

On a souvent tendance à croire que le Lausanne-Sport ne suscite qu’indifférence et désintérêt en Pays de Vaud.

A comme Amateurisme. Tout au long de la saison, le LS et ses dirigeants auront étalé un amateurisme criant, et ceci à tous les niveaux.

Lucerne est une ville idyllique : un décor de carte postale, des discothèques accueillantes, un pont chargé d’histoire, des pelouses parfaitement entretenues. Et un stade flamboyant dans lequel évolue un club à la hauteur des attentes populaires.

Le but de Rüfli On est en droit de penser ce qu’on veut de Vincent Rüfli.

Bon, là je vous entretiens de la seconde mi-temps, long désert d’ennui, sinistre purge, Waterloo footballistique de deux équipes sans âme, balbutiant un ennuyeux football d’académie pour l’une (YB) et de cérémonie funèbre pour l’autre (LS).

Il est des bêtises qu’on peut pardonner. Comme celles cumulées dimanche contre Sion par le staff technique. Composition d’équipe, tactique, changements de joueurs, rien n’a joué, tout était faux. Ils s’en sont même ouvertement excusés.

Au début, on se disait que tout était réuni pour nous donner un après-midi royal qui allait nous changer les idées.

1. Le LS va lamentablement se vautrer parce que…
2. Mais non, c’est Sion qui va définitivement sombrer parce que…
3. En fait, il y aura un vieux match nul des familles parce que…
4. Alain Joseph va enfin faire parler de lui

Salut Gianluca.

C’est historique : Sion a engrangé un point après une série de trois défaites.