Même les Chleuhs ne pouvaient pas faire valoir les mêmes arguments : Après 8 rencontres, les Belges totalisent 7 victoires, un nul, 35 buts pour et 3 contre.
Hazard fait chavirer le public de Chelsea. De Bruyne fait rêver celui de Man City. Mertens fait bander Naples. Et pourtant, les stades belges dorment le week-end.
Avec un bilan de 28/30 face aux autres membres du top 6 en saison régulière et de 15/24 lors de cette inutile (cette année encore plus que les autres) phase de play-off, le titre d’Anderlecht ne souffre pas de la
Pourtant, sa nomination en octobre 2009 à la tête de l’équipe nationale belge pour retaper des Diables Rouges comateux depuis 8 ans (et en état de mort clinique depuis les passages de Vandereycken et Vercauteren) avait enchanté bon nombre de
OK, Lyon a gagné des kilos de trophées ces dernières années… OK, le transfert de Lisandro a coûté plus cher que tout l’effectif mauve réuni… OK, les compétences d’entraîneur d’Ariel Jacobs se rapprochent de celles d’une huître commune.
Une faille du règlement ? Une volonté de se distinguer de tous les autres pays du monde ? Un oubli ? Peu importent les raisons qui ont amené à départager les deux co-leaders du championnat lors d’une finale aller-retour.