Toutes dans le même Cornet

Il y a quelques semaines, je m’étais moqué allègrement mais justement des « Quatre Mousquetaires » du tennis français actuel. Dans cet article, j’avais dit que le tennis féminin tricolore mériterait également le sien, tant la brochette est belle. Bienvenue donc sur le premier Born to Lose 100% sport féminin (profitez bien, une fois que celui-ci sera fait, il ne me restera plus que le ski parmi les disciplines dont je suis vaguement les résultats chez les femmes).

Contrairement au quatuor masculin, qui est inconsciemment souvent vu comme une véritable équipe et dont le moindre succès serait perçu comme une sorte de réussite globale du tennis français, chez les femmes dont on va parler la notion de collectif est bien plus abstraite. Il faut dire que, contrairement à leurs homologues, elles ne sont pas de la même génération, ne vivent pas toutes dans le même pays pour bénéficier de forfaits fiscaux, et semblent ne pas franchement s’apprécier entre elles, en témoignent les multiples histoires liées à l’équipe de France de Fed Cup. Fed Cup, sorte de feu Coupe Davis pour les femmes, que les Françaises ont fini par remporter en 2019, à l’issue d’une édition pas si désertée que ça par les cadors mais qui reste une compétition loin d’être prioritaire pour bon nombre de joueuses. Tout cela pour dire que les profils abordés dans cet article seront bien plus variés et bien moins interconnectés qu’au sein des fameux Mousquetaires emmenés par « Mister Grand Chelem ». Mais tout aussi insupportables.

Caroline Garcia

Caro contemple les espoirs français s’envoler.

On commence doucement ces présentations avec la joueuse qui est probablement la plus douée et assez largement la moins détestable de cet article. Née en Île-de-France en 1993, Caroline Garcia se distingue avant tout en double, format dans lequel elle a gagné un Grand Chelem, Roland-Garros en 2016, ainsi que quatre tournois de catégorie Premier 5 et Premier Mandatory (l’équivalent féminin des Masters 1000), mais aussi atteint la finale de l’US Open en 2016 également, parmi d’autres performances honorables, le plus souvent avec sa compatriote, la douce Kristina Mladenovic (on en reparle plus bas). En simple, la Lyonnaise d’adoption a réalisé le doublé Wuhan (oui, ça fait bizarre de parler de cette ville en 2020) – Pékin en 2017, deux tournois de catégorie Premier 5 et Mandatory, titres qui sont ses meilleurs résultats en carrière et qui l’ont menée vers une probante 4ème place mondiale quelques mois plus tard.

Tout cela est très positif, mais vous vous doutez bien que si l’on parle de Garcia ici, c’est qu’il y a également des faits moins reluisants. Déjà, le double, tout le monde s’en cogne, à l’exception notable de la totalité des citoyens suisses lors du mois d’août 2008. De plus, elle ne le joue plus vraiment depuis début 2017, afin de se consacrer au simple. Et en solo, ben c’est moins rigolo… Hormis sa bonne année à cheval entre 2017 et 2018, lors de laquelle elle a remporté ses plus grands titres et réalisé ses meilleures performances en Grand Chelem, c’est pas la joie. Elle n’a plus passé les huitièmes de finales d’un tournoi important (Premier ou Grand Chelem) depuis 2018, pour commencer. D’ailleurs, elle n’a atteint les quarts en majeurs qu’à une reprise, en 2017 à Roland-Garros, et trois autres petites fois les huitièmes. Un total assez pauvre pour l’une des leaders du tennis tricolore, aujourd’hui retombée à la 45ème place mondiale (je ne ferai pas l’offense de nommer certaines joueuses mieux classées étant donné que je n’ai pas la moindre idée de qui sont la moitié des joueuses du top-50 actuel. Sérieusement, ça vous parle à vous, Magda Linette ou Karolina Muchova ?). Plus globalement, Garcia n’a, depuis une année et demie, quasiment jamais réussi à aligner deux victoires de suite, et ce quelle que soit la catégorie du tournoi et le calibre des adversaires. Même lors du titre des Bleues en Fed Cup, elle apporte certes le point décisif en double avec Mladenovic, mais avait pris une jolie branlée face à Ashleigh Barty lors de son premier match, une sublime double bulle (6-0 6-0), et ce bien avant que ce terme ne devienne à la mode à New York.

En bref, Garcia a certainement un talent non négligeable, mais également un mental plus que friable, à l’instar de nombre de ses compatriotes dans ce sport. Et même si elle a connu de beaux succès, on la voit assez mal titiller les plus hauts sommets du tennis, surtout vu sa forme récente. De quoi la faire réfléchir à une reconversion en sergent ?

Kristina Mladenovic

La dernière fois que j’ai vu un tel regard et un poing serré comme ça, c’est quand j’ai osé faire remarquer à Martin que ça servait à rien que la Nati en mette 6 contre l’Islande alors qu’elle avait pas réussi à un mettre un contre la Suède au Mondial.

On va désormais se focaliser sur une princesse de la lose. « Kiki » Mladenovic est en effet une excellente cliente de la FFL, même si elle ne compte pas moins de 24 titres en doubles dont quatre Grands Chelems. Mais comme dit précédemment, le double est aussi important médiatiquement que la fête des cougourdes qui passionne nos amis d’Outre-Quiévain. Et je ne parle même pas de ses trois titres en double-mixte… Mais Mladenovic, c’est avant tout une carrière de simple grandiose. En fait, elle a le parcours type décrit pour un joueur de tennis français (perce jeune, fait quelques bons résultats avec de rares coups d’éclats, est encensée par la presse, avant de se planter dans les grandes largeurs, de craquer mentalement et de se faire descendre par la même presse), mais en caricaturé. En 2009, elle devient championne du monde junior à tout juste 16 ans. En 2012, à 19 ans, elle gagne son premier titre, certes mineur, à Taipei, sur le circuit WTA. De 2013 à 2016, elle réalise certains exploits en double et alterne très bon et très mauvais en simple. Mais c’est en 2017 que la carrière de Kiki va prendre une dimension lunaire.

Son année commence extrêmement bien. Une victoire en Hopman Cup associée à Richard Gasquet (ça vaut ce que ça vaut mais rien que le fait de voir ces deux-là gagner quelque chose ensemble mérite d’être souligné) et, malgré un craquage au premier tour de l’Open d’Australie, remporte son plus grand titre en simple peu après à Saint-Pétersbourg, un tournoi de catégorie Premier, soit l’équivalent des ATP 500 (non vraiment les noms des catégories de tournois pour la WTA, faut trouver une solution…). Et la belle série continue puisque dans la suite du printemps 2017, Mladenovic atteint les demies puis la finale respectivement à Indian Wells et à Madrid, deux gros tournois, puis les quarts à Roland-Garros (de loin son meilleur résultat en Grand Chelem), où elle s’incline face à notre Timea nationale. Elle atteindra même la 10ème place mondiale à la suite de ces résultats, son meilleur classement à ce jour. Mais c’est précisément la période choisie par la Nordiste née en 1993 pour réaliser l’une des séries les plus incroyables de tous les temps en tennis. Entre 2017 et 2018, elle réussit en effet l’exploit de perdre 15 matches (oui, oui, quinze) de suite, le tout étalé sur presque sept mois, en se faisant fesser à plusieurs reprises ! Pendant cette série, on notera également la perte de 19 sets d’affilée, soit quasiment dix matchs sans remporter une manche. En parlant de manche (non, pas celui-là, bien qu’il soit légitime d’y penser en parlant de Kiki), il faut également signaler qu’aucune de ses adversaires n’était mieux classée qu’elle, allant quand même jusqu’à la 341ème place mondiale. Un peu comme si Yann Marti tapait Goffin ou Rublev en deux sets.

Sa place dans la légende étant sécurisée, Mladenovic a depuis recommencé à gagner de temps en temps (surtout en double), mais reste bien loin de ses records. Elle navigue aujourd’hui à la 44ème place mondiale, ce qui en fait la meilleure française (je vous le jure). Mais il reste un aspect à aborder au sujet de Kiki : son caractère digne d’un joueur de l’équipe de France de foot. Petit florilège non exhaustif :

  • À la suite de son élimination aux Jeux de Rio alors qu’elle était en lice avec Garcia, la Nordiste traite sa fédération d’incompétente car elle ne les a pas informées sur le règlement des tenues (et se sert de cela comme excuse à leur défaite). C’est vrai que le règlement des JO ne doit pas être disponible pour les joueuses et que c’est du devoir des fédérations nationales de leur faire la lecture…
  • Début 2017, Caroline Garcia annonce ne plus vouloir jouer la Fed Cup pour se concentrer sur sa carrière. Après un forfait de sa part pour blessure, Mladenovic, Pauline Parmentier et Alizé Cornet (on va en parler aussi) se fendent d’un « LOL » publié sur leurs twitters respectifs, simultanément. Sympa les copines.
  • Quelques semaines plus tard, alors que les trois autres protagonistes ont calmé le jeu et que la blessure de la Lyonnaise a été confirmée par le médecin de la Fédération, Kiki en rajoute une couche en déclarant que ce que fait son ex-partenaire de double est un « manque de respect ». De plus, elle l’a absolument dézinguée dans une chronique, la taclant sur sa vie privée. Kiki a donc vidé son sac.
  • Lors du récent US Open, probablement à cause de l’atelier « initiation au chibre » de Benoît Paire, elle doit rester en quarantaine pour la suite de son tournoi malgré ses tests négatifs et ceux de Ben (!), qui a probablement été victime des désormais fameux « faux positifs ». Dès lors, l’excuse pour son énormissime craquage mental décrit dans le tweet ci-dessous était toute trouvée. Elle a immédiatement accusé les – il faut bien le dire – très incompétentes autorités new-yorkaises, n’hésitant pas à parler de « cauchemar » et d’une « privation de liberté ». C’est vrai que rester enfermée dans un hôtel cinq étoiles, à toucher des primes bien trop élevées pour son niveau de jeu et ne pas avoir le droit d’aller manger des pétoncles au champagne au Bernardin sont comparables aux conditions de vie d’un Goulag ou, pour rester sur un établissement américain, à Guantanamo. On rappelle à tout hasard à Kiki que la totalité de ses compatriotes ont dû respecter un confinement total de presque deux mois et ce dans des lieux souvent bien moins luxueux qu’elle. Mais bon, on se réjouit de son tweet pour se plaindre des séances de waterboarding imposées pour déterminer si oui ou non elle est allée dans une des salles commune de l’hôtel.

Alizé Cornet

Un lion et un crocodile comme sponsors, le tout pour un mental de truite et un jeu de manchot…

Pour ne pas trop changer de thème, nous allons parler de la Niçoise née en 1990, qui doit également être très agréable à côtoyer. D’ailleurs, elle est probablement plus connue pour ses dérapages sur le court ou en conférence de presse, elle qui a pour meilleur classement mondial une onzième place atteinte en 2009, alors qu’elle n’avait que 19 ans, et qui n’a jamais fait mieux que des huitièmes de finales (4 petites fois) en Grand Chelem. Du reste, ses seuls titres en simple sur le circuit ont tous été acquis en International Events (pendant féminin des ATP 125), soit la quatrième catégorie. Et en Premier 5 et Mandatory ? Elle n’atteint qu’à de rares occasions les huitièmes, ne passant en quarts que deux fois dans toute sa carrière, les deux fois à Wuhan (je commence à croire que cette ville est vraiment maudite). Actuellement, Cornet est 51ème mondiale, ce qui n’a rien de choquant au vu de ses dernières saisons. D’ailleurs, son année 2019 a été si brillante que sa page Wikipédia n’affiche que cela pour la résumer :

Mais si nous parlons de cette chère Alizé, c’est qu’elle est l’exemple même de l’esprit sportif sur un terrain de tennis et en dehors. Bien sûr, elle a fait partie de la fameuse histoire du « LOL » précédemment expliquée, mais pas seulement. Elle est connue pour user et abuser des temps morts médicaux, voire même de faire intervenir son médecin sur le court alors qu’elle n’en a pas le droit. Elle a également été sauvée d’une suspension pour non-présentations à des contrôles antidopage par le très, très permissif tribunal de l’ITF (un cycliste serait suspendu au moins deux ans pour la même chose), déclarant par la suite que tout cela était de la faute des contrôleurs et de malentendus. De plus, son petit ami est souvent considéré comme un paillasson par Cornet, qui n’hésite pas à l’insulter devant les caméras pendant les matches pour se passer les nerfs, et ce à plusieurs reprises. La relation du couple semble aussi saine et bienveillante qu’un débat sur Twitter. On ne compte pas non plus ses déclarations à l’encontre de l’arbitrage ni de ses adversaires, notamment face à Bacsinszky en Fed Cup, accusée par la Niçoise d’avoir profité d’une piqûre de guêpe pour gagner. Parce que, c’est bien connu, le venin de la guêpe est un puissant anabolisant.

En bref, la tenniswoman dont le nom de famille évoque un bout de plastique coûtant 5 centimes à la Coop Pronto mais que tout le monde juge quand même trop cher pour ce que c’est et qui te pète dans les mains dès que tu as l’outrecuidance d’y glisser deux canettes de cardoche tièdes est la gentillesse incarnée. Cependant, il faut lui laisser qu’elle excelle dans l’art des excuses après une contre-performance. Car, au risque de me répéter, la Niçoise est bien plus habituée aux défaites qu’aux honneurs sur le court. Normal quand ton idole masculine est Andy Roddick, vous me direz.

Marion Bartoli

Apparemment Bartoli n’aurait pas tellement vu la différence si elle jouait en 2020 avec le huis clos.

Née en Haute-Loire en 1984, Marion Bartoli est un cas à part dans cet article. En effet, on ne peut pas vraiment dire qu’elle est « Born to Lose », puisqu’elle a gagné Wimbledon, certes à la surprise générale et sans affronter de joueuse du top-15 mondial, en 2013. Mais étant donné que mon confrère Grégoire Etienne relate ce titre aussi attendu qu’une victoire grecque en 2004 dans cet article, je ne vais pas me pencher plus que cela dessus. Non, si Marion Bartoli est ici, c’est avant tout pour sa faculté à donner son avis sur tout ce qui ne la regarde pas et, quand même, pour toute sa carrière hormis son dernier tournoi victorieux. Parce qu’en dehors de ça, la native du Puy-en-Velay a une belle carrière à la française. Aucun titre supérieur à un Premier (ATP 500, pour rappel), quelques fulgurances en Grands Chelems dont une finale à Wimbledon 2007 mais pas de titres, une régularité proche de celle de Romain Grosjean en Formule 1 et, contrairement aux trois autres, aucun titre en Fed Cup. On peut donc dire que Marion prend l’eau *Badum tss*.

Mais parler de Bartoli, c’est aussi parler de sa relation malsaine avec son père, médecin qui a tout stoppé pour faire de sa fille un robot. Surnommé « Docteur Maboule » par le monde du tennis, il aura poussé Marion au bout d’elle-même tant physiquement que psychologiquement, ayant une emprise sur elle assez indescriptible. C’est d’ailleurs à cause de lui que la Française a été exclue pendant longtemps de l’équipe de Fed Cup, le capitaine de l’époque ne voulant pas d’un psychopathe au bord du terrain. Heureusement, Marion a eu un déclic et s’en est séparée… Mais bien sûr que non ! Le syndrome de Stockholm sévère développé depuis des années continue et l’ex-joueuse vit toujours à ses côtés. Sérieusement, faites des recherches sur ce tandem, ça fait peur…

… Mais cela n’excuse pas la grande gueule permanente de la tricolore depuis sa retraite en 2013. Enfin, si l’on ne compte pas sa tentative de retour en 2017, aussi fructueuse que la carrière de Marco Streller en tant que directeur sportif du FC Bâle. En 2018, la Loiraine traite Nick Kyrgios et Gaël Monfils « d’enfants […] pathétiques à voir jouer » et ajoute que l’Australien n’a pas « l’éthique pour gagner un grand Chelem » et « qu’il gâche sa vie à se comporter comme ça ». Elle sera smashée par ce dernier, qui lui répondra « Arrête de penser que tu sais ce qui est le mieux pour les autres parce que tu penses que tu as eu un peu de succès. On a compris, on sait que tu veux rester importante mais on s’en fiche de ce que tu as à dire. » En 2019, elle s’en prend à Benoît Paire pour ses diverses frasques, sur et en dehors du court. L’Avignonnais lui répondra en suggérant qu’elle n’était pas non plus le modèle de sportivité sur le terrain et en lui dédicaçant quelques vidéos où il prend du bon temps sur diverses terrasses. Mais l’ex-résidente de Genève (cet article manquait de forfaits fiscaux) ne fait pas que de s’en prendre à des joueurs déjà condamnés par l’opinion publique. Elle a aussi des avis tranchés sur des sujets plus complexes qu’elle ne maîtrise absolument pas, comme par exemple les répartitions des gains. Il y a quelques semaines de cela, elle a suggéré qu’il faudrait supprimer le double de certains tournois ou réduire le prize money de cette catégorie afin de le répartir sur les joueurs hors du top-100 en simple. Loin de moi l’idée de défendre maintenant le double, mais venant de la joueuse tricolore la moins douée dans ce domaine, ça reste plutôt gonflé. En bref, Bartoli donne son avis sur tout et finit souvent par ressortir son unique argument quand elle n’en a plus d’autre : « oui mais moi j’ai gagné Wimbledon, nananère ». Et après cela, elle déclare que les enfants sont Monfils et Kyrgios…

Et sinon ?

Une fois encore, il est difficile de jeter la pierre aux autres représentantes actuelles du tennis français. La jeune Fiona Ferro gravit tranquillement les échelons sans faire de bruit et bat régulièrement ses compatriotes susmentionnées, ce qui est assez drôle. Pauline Parmentier se fait régulièrement hacher par ses adversaires et, hormis l’affaire du « LOL », n’a jamais eu beaucoup d’impact médiatique. Virginie Razzano est un peu dans le même cas, même si elle a déjà tiré sa révérence. Enfin, Océane Dodin et Aravane Rezaï n’ont jamais vraiment confirmé leurs prometteurs débuts de carrières, même si la seconde aurait mérité un paragraphe pour ses frasques. Vous l’aurez compris, c’est pas demain la veille qu’une Française devrait regagner un majeur, le titre de Bartoli relevant davantage de l’anomalie dans ce paysage désolé. Comme quoi, le tennis tricolore réussit là ou de nombreuses institutions échouent : en matière de lose, les hommes et les femmes y sont parfaitement égaux !

Crédits photographiques :

Photo de tête : Peter Menzel/CC0/Wikimedia Commons https://commons.wikimedia.org/wiki/File:France_Fed_Cup_team_World_Final_2016.jpg

Caroline Garcia : Yann Caradec/CC0/Wikimedia Commons https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Caroline_Garcia_-_Roland-Garros_2013_-_010.jpg

Kristina Mladenovic : Peter Menzel/CC0/Wikimedia Commons  https://commons.wikimedia.org/wiki/File:2018_Birmingham_-_Monday_Kiki_Mladenovic_(42167174654).jpg

Alizé Cornet : Carine06/CC0/Wikimedia Commons https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Alize_Cornet_(20071913781).jpg

Marion Bartoli : Max Pixel : https://www.maxpixel.net/Woman-Professional-Tennis-Player-Marion-Bartoli-577842

A propos Joey Horacsek 84 Articles
Bon ça va, je vais pas vous sortir ma biographie

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2 Commentaires

  1. Cette phrase « profitez bien, une fois que celui-ci sera fait, il ne me restera plus que le ski parmi les disciplines dont je suis vaguement les résultats chez les femmes). » est un peu désolante. Vous devriez pouvoir trouver une personne qui puisse s’intéresser sérieusement au sport féminin afin d’étoffer votre site (que j’adore)

    • Merci pour le commentaire. Cette phrase est en fait avant tout une blague puisque ça fait longtemps que l’on me reproche de ne me moquer uniquement des sportifs masculins.

      Par contre, ce serait avec plaisir que l’on accueillerait une personne spécialiste du sport féminin et, encore mieux, une femme au sein de la rédaction. Alors si le coeur vous en dit, la porte est ouverte ! (et les candidatures sont à adresser à info@carton-rouge.ch 😉 )

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