Et un, Hébreux, et trois zéro !

Il aura fallu mettre un petit coup d’accélérateur pour se sortir de la Moïse et se mettre à l’abri.

Le match en deux mots

Merci Okafor.

(Il nous a permis de garder ce titre).

L’homme du match

Le trio Vargas-Itten-Amdouni.

Parfois maladroit, parfois frustrant, mais finalement décisif. La VIA gravira-t-elle les échelons pour s’installer en équipe nationale ?

Ok, on n’y croit pas vraiment, c’est juste pour le jeu de mots pourri.

La buse du match

6 ans jour pour jour que cette merde sévit. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce funeste anniversaire a été fêté en beauté.

Avant ce truc, j’avais pour habitude de ne jamais critiquer les arbitres. Mais ça, c’était avant.

Hier, entre le débile du camion qui appelle l’arbitre parce qu’il voit une « erreur manifeste » alors qu’après 15 ralentis, on n’en sait toujours rien, et son frère de cerveau sur le terrain qui revient sur sa décision en dix secondes sur la base d’un seul angle au ralenti du ralenti, on ne sait pas lequel on a le plus envie d’injurier.

C’est à se demander si les mecs aiment en priorité le foot ou l’informatique.

Une certaine idée de la vision d’horreur.

Le tournant du match

Le retour des vestiaires incisif des coéquipiers de Freuler qui ont su doubler puis tripler la mise quasiment coup sur coup. Dès lors, toute la bonne volonté de l’équipe israëlienne s’est envolée. En même temps, cette équipe n’est plus vraiment du même Maccabi que celle de l’époque de Yossi Benayoun qui comptait quelques éléments de qualité comme Yossi Benayoun, Yossi Benayoun ou encore Yossi Benayoun.

L’esthète du match

Denis Zakaria.

Un peu en dedans comme tous ses compères en première mi-temps, il a clairement donné l’impulsion à mi-terrain par la suite. Sa pichenette sur le 3-0 de Widmer est une merveille. On est sûrs que depuis les tribunes, en fin connaisseur, Roger Federer a apprécié cette balle de Denis.

Le geste pourri du match

Celui des supporteurs suisses qui ont cru bon de quand même chanter « Hopp Schwiiz » dans un tel match.

Le chiffre à la con

4.

Comme le nombre de rangs perdus par la Suisse dans le classement mondial des pays où il fait le meilleur vivre. Une chute vertigineuse. Pire, on s’est fait passer devant par Israël. En même temps, quand dans ton équipe nationale tu as Baribo, c’est beau la vie.

L’anecdote

Tout le monde le sait depuis dix jours, Crédit Suisse est complètement à l’envers. Ce n’est même pas un peu de Frick qui le sauvera…

Si le match avait été une chanson 

« A poil » Tel-Aviv ou Haïfa c’est selon.

La minute Johan Djourou

A la 9ème minute, le bon Johan juge le ballon d’Akanji un peu trop « enneigé ». La fin de l’hiver doit lui peser visiblement.

La rétrospective du prochain match

Un déplacement en Andorre qui permettra de faire rentrer Fassnacht plus tôt dans le match afin de faire gagner quelques minutes de sommeil supplémentaires à tous les téléspectateurs.

 

Crédits photos : Merci aux espions de la Praille qui se reconnaîtront. 

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2 Commentaires

  1. A mettre dans la minute Johan Djourou ou le tournant du match, le retournement de veste de Johan Djourou au sujet du penalty annulé. On est passé de « c’est nettement et c’est clairement penalty » à « il y a peut-ête contact » à finalement « il n’y a pas de doute, il n’y a pas penalty ».

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