Comme ils n’ont jamais rien appris et retenu, il est difficile ce lundi de me faire croire que les Servettiens auront compris la leçon donnée par Moussilou : il a toujours raison.
L’équipe nationale de football argentine tient elle aussi ses légendes. Comme exprimé dans les différents articles de cette série, le sport, le football particulièrement, tient une place prédominante dans la société argentine.
Les stades argentins sont vétustes. Le niveau général sur le terrain ne ferait guère vibrer les foules en Europe. Mais le spectacle et l’ambiance dans les tribunes à eux seuls valent le détour.
De la politique au football en passant par le showbiz, la polémique est l’opium du peuple en Argentine. Dans une dimension qui ferait passer des Italiens ou des Anglais pour des apprentis.
L’histoire de l’Argentine est un continuel recommencement. Des cycles relativement courts qui ont amené le pays au plus haut comme au plus bas des rankings de la planète.
Nom : Estadio Alberto J. Armando. Ville : Buenos Aires. Club résident : Club Atlético Boca Juniors. Capacité : 49’000.
Le stade
La Bombonera de son surnom (la bonbonnière) est située au coeur du quartier de la Boca.
La soirée avait pourtant bien commencé avec une température agréable et quelques bonnes nouvelles du côté de la formation de Martin Rueda. Page et Marin tout d’abord.
Pour ceux que mon état mental préoccupe (et je les comprends), qu’ils ne se méprennent pas : c’est bel et bien le hasard d’un week-end en Valais et des horaires de bus postal au poil qui m’ont fait venir à Tourbillon