Rugby

En attendant un match de football australien ou de cricket (hmm, en fait peut-être pas non), nous sommes allés voir le match retour de la Bledisloe Cup, compétition annuelle entre la Nouvelle Zélande et l’Australie, qui s’inscrit depuis 1996 dans

Les Bleus ont forgé leur succès en prenant les Pumas à leur propre jeu. S’engager physiquement, retarder la sortie des ballons et occuper le terrain grâce à du jeu au pied.

Une première mi-temps plutôt terne a vu l’arrière kiwi Muliana ouvrir le score dès la 13e minute.

Plus qu’un parcours initiatique du rugby, c’est bien une orgie de bonne humeur, de bières, de sport et de convivialité à laquelle nous avons eu droit durant ces deux week-ends.

L’Angleterre ne sera donc pas la première nation à conserver un titre de champion du monde.

Cette édition du Mondial de rugby n’est décidemment pas celle du jeu.

Mais quel bonheur ! En un samedi soir, toutes les facettes du jeu à XV ont été revisitées. Tout d’abord Fidji – Galles. Deux équipes portées vers le jeu de passes et l’attaque à outrance.

C’est un peu la bouteille à encre dans le groupe D.

Mais le «big-bang» de ce début de Mondial a eu lieu au Stade de France. L’Argentine est venue à bout de la France 17 à 12.

Les Richie McCaw, Keven Mealamu, Daniel Carter, Byron Kelleher, Joe Rokocoko et autres Sitiveni Sivivatu et Andrew Ellis ont pour mission de ramener la Coupe du Monde au pays après 20 ans de diverses humiliations lors de ce tournoi.