Euro 2021 : Présentation du groupe B

Jusqu’au coup de l’envoi de l’Euro, nous vous présentons tous les jours les forces en présence. Aujourd’hui place au groupe B.

Belgique :

La star

Eden Hazard.

L’ailier belge, ancien meilleur joueur de Premier League, est désormais connu pour être le transfert à trois chiffres le moins rentable de l’histoire du foot (oui oui, devant Coutinho et Dembélé au Barça), lui qui a été transféré au Real pour 115 millions ( ! ) en 2019. Bilan du joueur depuis ? 42 bouts de matchs pour 5 petits goals et surtout 11 blessures. Il pourra donc s’estimer heureux d’être sélectionné par Roberto Martinez, aka le sosie latin d’Alain Berset, et surtout de ne pas se blesser d’ici le début de l’Euro. Le football est bien plus dur pour Eden depuis qu’il a quitté son jardin de Stamford Bridge.

Avouez qu’on le verrait bien entre Parmelin et Cassis Sommaruga. 

Pourquoi ils sont détestables

Parce qu’ils sont exactement comme la Suisse, mais en meilleurs. Un petit pays d’Europe occidentale en partie francophone, germanophone et ayant une autre langue bizarre, une haine des Français, une équipe de foot constituée en grande partie de joueurs binationaux, un championnat tout naze, la même façon de dire septante et nonante, un système politique qui échappe au reste du monde (voire même aux propres citoyens des deux pays). Bref, on est les mêmes, mais en moins bons au foot. Quand on perd de manière imméritée 1-0 contre l’Argentine en huitièmes en 2014, eux perdent de manière imméritée 1-0 contre l’Argentine en quarts. C’est frustrant quand ton jumeau est meilleur que toi. Il faut donc espérer qu’ils fassent moins bien que nous cette année. En plus ils sont méga mauvais perdants, donc c’est marrant. Et pour le coup c’est différent de la Nati, où Petko est toujours monstre fier de ses défaites honorables.

Le match référence

Suisse – Belgique (5-2), Ligue des Nations.

Dans une année marquée par la défaite mal digérée (c’est rien de le dire) face à la France en demi-finale du mondial, la Belgique veut se rattraper grâce à la Ligue des Nations, première du nom. Alors invaincue dans son groupe, la Belgique doit simplement ramener un point de Suisse centrale. Ayant retenu la leçon de l’été écoulé, elle se présente alors pleine d’humilité et prend son adversaire très au sérieux. Non, on déconne ! Les Diables Rouges se voient déjà soulever la Coupe quelques mois plus tard au Portugal et leur début de match (1-0 après une minute puis 2-0 au quart d’heure) ne fait que les conforter dans leur surestime d’eux-mêmes. La suite du match vous la connaissez : pénalty de Rodriguez, triplé de Sefe et but de la tête d’Elvedi, pour un résultat final de 5-2 et une qualification helvétique pour le Final Four. Le légendaire seum belge sera à nouveau au rendez-vous et Courtois aurait sérieusement pu raccrocher les gants après ce match, parce que se prendre un coup du chapeau parfait (un but du droit, un du gauche, un de la tête) par notre Haris national, ça pique quand même, surtout quand tu viens de gagner le titre de meilleur gardien du mondial 2018. Si la Belgique gagne l’Euro cette année, elle pourra remercier la Suisse de lui avoir appris un peu d’humilité ce 18 novembre. Mais on n’est pas sûr que Witsel et ses potes en aient tiré les leçons…

Le conseil Guide du routard

Vous en avez marre de vos collègues qui se gaussent d’avoir vu une minuscule statuette de bronze qui lâche son fil à Bruxelles ? Vous n’en pouvez plus de vos voisins qui vous parlent depuis 2019 de leur voyage dans la « fabuleuse Venise du Nord » qu’est Bruges (qui est bien au nord mais qui ressemble autant à Venise qu’une Heineken ressemble à une bière) ? Jouez-la différemment ! Allez visiter Liège la magnifique, ses friteries, sa maison du péket, ses industries, sa Meuse aux eaux cristallines, sa Jupiler et ses ruelles qui hument bon l’urine au petit matin. Vous aurez de moins belles photos que vos connards de voisins, mais vous aurez ramené de quoi picoler pour vous amuser en faisant semblant de les écouter !

Si ça fait pas rêver…

Note SOS commentateurs :

4/5.

On pourrait penser que, puisqu’en partie francophone, la Belgique est facile à commenter. Mais c’est oublier deux choses : les joueurs flamands et ceux d’origines étrangères. Parce que quand même, Alderweireld, Dendoncker, De Ketelaere, Saelemakers, Verschaeren, Batshuayi ou encore Januzaj ou Nainggolan il n’y a pas si longtemps, c’est piège.

Russie :

Le tsar

Artem Dzyuba.

Grand homme (1 mètre 96 quand même) de sa sélection lors du mondial à domicile il y a 3 ans (3 buts et 2 assists en 5 matches quand même), le néo-capitaine russe est toujours en feu. Son bilan cette saison ? 20 pions et 8 passes décisives en 27 matches de championnat, couronné d’un titre pour son Zenit et d’un trophée de meilleur buteur pour notre brave Artem. À presque 33 ans, Dzyuba, le fidèle soldat de Stanislav Cherchesov, est dans la forme de sa vie et sera à surveiller comme le bortsch sur le feu pour les adversaires de la mère patrie, lui qui n’a besoin plus que d’un but pour devenir recordman de l’histoire de sa sélection dans ce domaine. On profite de parler du géant rouge pour conter deux anecdotes cocasses à son sujet : la première est toute récente et date de la cérémonie du titre du Zenit, lors de laquelle il s’est présenté déguisé en Deadpool au moment de récupérer sa médaille. Et Deadpool, c’est cool. La seconde date de fin 2020, quand l’immense attaquant s’est fait pirater et qu’une vidéo de lui en train de se tripoter a fuité sur internet. Le sélectionneur Cherchesov a alors décidé de se passer de sa star, pour la protéger, ce qui a déclenché un impressionnant mouvement de soutien pour Dzyuba. Militantes féministes, stars, chaînes de télévision, tout le monde s’est dressé aussi sec que le zboub d’Artem pour qu’il retourne avec la Sbornaïa. Il y a même un pilote de ligne d’une compagnie locale qui a profité de son vol, avec une centaine de passagers donc, pour dessiner un pénis avec son tracé GPS, en soutien au joueur. L’excentricité de la Russie personnifiée en une historiette.

Pourquoi ils sont détestables

Parce que c’est un peu la mode de ne pas aimer les Russes. Bon, il faut dire que les oligarques et autres richissimes touristes qu’on croise dans les environs de Montreux ou d’Interlaken n’aident pas tellement à la réputation du pays. Mais dans l’imaginaire collectif, les Russes restent souvent les méchants. Pourtant, ils ont un président doux comme un agneau, un système électoral très démocratique, des lois progressives et aucun secret d’état qui ne présente de risque au niveau mondial. Non ?

Le match référence

Pays-Bas – Russie, Euro 2008, 1-3

Sortie deuxième d’un groupe assez relevé (Espagne, Grèce alors tenante du titre et Suède) la Russie se présente en quarts comme le petit poucet face aux Pays-Bas, gros outsider du tournoi avec sa génération dorée. En effet, d’un côté on a comme « stars » le duo Arshavin – Pavlyuchenko et le jadis tout jeune Igor Akinfeev, de l’autre on retrouve les van der Sar, Kuyt, van Bronckhorst, Sneijder, van Nistelrooy, van Persie, de Jong ou van der Vaart. En théorie, c’est plié d’avance. Sauf que c’est les Russes, menés par leur coach… néerlandais Guus Hiddink qui dominent le match et marquent les premiers. En toute fin de match, van Nistelrooy arrache l’égalisation et on se dit que c’est fini. Mais non. Les Russes ont la rage et plantent 2 fois pour renvoyer les caravanes redescendre le Rhin depuis Bâle. La Russie sort les Pays-Bas, c’est surprenant, mérité, et ça a le don de faire pleurer mon jeune voisin du jour à la Fanzone de Vevey, lui dont la maman bossait dans je sais plus quel hôtel classe de Lausanne qui accueillait la sélection batave, m’avait-il narré. Les hommes de l’est se feront balayer par l’Espagne au tour suivant mais cela reste leur meilleur résultat en grande compétition depuis la chute de l’URSS.

Le conseil Guide du routard :

Choc culturel lorsque vous arrivez en Russie : tout le monde fait la gueule. Les douaniers pour commencer, quelle tronche ils tirent ceux-là. Ils n’ont pas l’air très commodes. La dame au guichet ensuite, on dirait qu’elle passe la pire journée de sa vie et elle te le fait bien comprendre. Enfin, la serveuse du premier bistrot où tu t’arrêtes en boire une, tu as l’impression que ça la saoule de te servir la pression qu’elle vient presque de te jeter à la gueule. Vraiment quel pays qui respire la joie de vivre… et moi qui essaie de détendre l’atmosphère en faisant de grands sourires. Et bien sachez que c’est tout à fait normal et c’est culturel. En Russie (comme dans un grand nombre de pays d’Europe de l’Est), on ne sourit surtout pas lorsque l’on fait son travail, car on le fait sérieusement et donc on ne rigole pas. Vous saisissez la logique ? Sourire y est vu comme un manque de professionnalisme, surtout à un inconnu qui va croire qu’on se paie sa poire. Mais une fois qu’on connaît les gens, rassurez-vous ils rigolent aussi comme chez nous.

Note SOS commentateurs :

3/5.

L’exact inverse de la Belgique. On pourrait penser que la Sbornaïa regorge de noms compliqués, mais en réalité la plupart des joueurs actuels ont des patronymes assez simples à prononcer. Notons quand même les présences de Dzhikiya, Evgenjev et Zhemaletdinov pour faire passer un mauvais quart d’heure à nos commentateurs.

Danemark :

La star

Alors c’est l’histoire d’un mec, un mec normal quoi. Non, pas un Espagnol, ni un Anglais. Bon on va dire qu’il est Danois. Il décide de faire footballeur. Bon. On va dire avant-centre, parce qu’il court pas mal vite. Comme il est danois il commence à jouer au foot là-bas et un jour, on sait pas trop pourquoi, il se retrouve à Toulouse. Alors bon, à Toulouse on parle un peu de lui parce que l’équipe est naze et comme lui il est juste pas ouf, ben il a l’air pas mal en comparaison. Pis bon, il met en moyenne un goal tous les quatre matches, c’est correct sans être dingue pour un attaquant quoi. Pis ensuite ce mec il décide de se barrer au nord de l’Angleterre, en 2e division, au pif à Middlesbrough. Bon, là-bas il est vraiment nul, donc il joue pas trop et décide de se barrer. Bon, on va dire qu’il aime pas le froid donc il part, euh, en Espagne. Mais dans un club un peu nul parce que c’est un joueur un peu nul. Bon, on va dire à Leganès. Pis bon, là il est toujours pas ouf, avec sa moyenne d’un but tous les quatre matches. Et pis un jour, ce mec un peu nul qui a genre presque 30 ans, il apprend qu’il est acheté par le FC Barcelone, ’fin le Barça quoi. Qu’ils lui mettent une clause de libération de malade, genre 300 millions, qu’il récupère un numéro de légende du club, genre le 9. Alors là le mec, ben il comprend pas. Personne au monde comprend en fait. Mais au final, ben ce mec, il est toujours un peu nul en fait. Pis ce mec il a un nom à la con et compliqué en plus, genre quelque chose comme Braithwaite. Pis bon comme le Danemark a une équipe pas folle-folle non plus, ben ce mec il va quand même aller à l’Euro. Mais c’est pas sûr qu’il marque beaucoup parce que pour tout dire il est un peu bof ce mec.

Pourquoi ils sont détestables

Parce que, si j’en crois mon pote finlandais rencontré l’an dernier en Erasmus, « Danes are motherfuckers ». Devant mon insistance à comprendre ce que le peuple de la Reine Margrethe II lui avait fait, il m’a lâché un laconique « they are just fuckin’ morons ». Vu l’air sûr qu’il avait en me disant ça, je me suis donc résolu à ne pas aimer les Danois.

Le match référence

Rarement cette rubrique aura été si simple à remplir. Comment serait-il possible de citer un autre match que la finale de l’Euro 1992. Un Euro que le Danemark n’aurait jamais dû disputer, le pays profitant de la guerre en Yougoslavie pour ravir la place de cette dernière. Commençant mal, avec un point en deux matches face à la Suède et l’Angleterre, les Danois, rongés par des rivalités en interne, se qualifieront un peu par miracle pour les demies (la compétition ne comptait alors que huit équipes) après un succès contre la France, ce qui fait toujours plaisir. Ladite demie sera finalement gagnée aux tirs aux buts face à une sacrée équipe des Pays-Bas (encore eux). Puis, en finale, ils seront sur leur nuage et réussiront tout face aux immenses favoris, les Allemands (mais oui les Allemands) fraîchement réunifiés. Un titre incroyable et inattendu, le tout sans leur immense star Michael Laudrup (mais avec son frère Brian et un certain Peter Schmeichel dans les cages, quand même). Pour en savoir plus sur cette épique épopée, je vous conseille vraiment cet article ou le film à ce sujet, Sommeren ’92 ou Été 1992 en français.

Le conseil Guide du routard

Loin des hypes touristiques que sont Christiania, quartier alternatif de Copenhague, ou la petite sirène, loin des foules qu’on préfère un peu éviter depuis plus d’un an (sauf si on est fan de Zara ou de Primark), le Danemark possède quelques joyaux à visiter, comme Nuuk. La capitale du Groenland, pays faisant partie du Royaume du Danemark, ne fait pas souvent partie des listes de lieux à visiter du commun des mortels. Mais elle a quelques trésors à offrir. Déjà, ça a l’air super beau. Ensuite, vous n’allez pas trop dépenser en déo puisque la température moyenne sur l’année est de -1,4 degrés. Pour finir, vous serez sûrement surpris d’apprendre que la ville compte presque 19’000 habitants, ce qui représente environ un tiers de la population de l’île, et qu’elle possède une université où environ 650 étudiants sont inscrits. Soit moins qu’au gymnase de Burier.

Vous noterez le style assez différent de celui de Liège.

Note SOS commentateurs :

2/5.

Malgré quelques joueurs pièges, comme le susnommé Braithwaite, le Danemark a une équipe finalement assez facile à commenter, pour peu que l’on maîtrise les -sen et les trémas (c’est le nom français pour le umlaut si jamais). Ils ont notamment l’ancien conseiller de Babar, Andreas Cornelius, ou le joueur qui fait toujours son petit effet, Larsen.

Finlande :

La star

Joel Pohjanpalo.

Puisque 100% des journaux vont dire que la star est le buteur de Norwich Teemu Pukki, on va innover. Bien sûr, on aurait pu placer le gardien de Leverkusen Lukas Hradecky, le milieu des Rangers Glen Kamara ou encore l’ancien des Young Boys Juhani Ojala. Mais on préfère mettre en avant l’attaquant de l’Union Berlin (prêté par Leverkusen) Joel Pohjanpalo. Le joueur de 26 ans était en plein doute jusqu’à la fin avril, n’ayant plus trouvé le chemin des filets depuis 6 mois. Mais depuis, c’est quatre buts sur ses trois derniers matches de Bundesliga. Autant dire qu’il va arriver à l’Euro en pleine bourre. Bon ça ne fait jamais que 6 buts sur la saison, mais j’étais content de pouvoir placer l’Union dans mon article.

Non, ce n’est pas Loris Karius.

Pourquoi ils sont détestables

Parce que c’est leur première qualification, ça va faire comme avec l’Islande et tout le monde va être un peu pour eux parce que c’est fun et que ça fait tellement plus cool de dire qu’on aime bien la Finlande plutôt que les Pays-Bas ou l’Espagne. Bref, on tient le pari que les Euro’ix vont tous prendre fait et cause pour cette sympathique peuplade à la langue absolument incompréhensible (ou pour l’Écosse…). En plus, une partie du pays parle suédois, ce qui rend cette nation absolument détestable pour tout fan suisse.

Le match référence

Finlande – Liechtenstein, qualifications pour l’Euro 2020, 3-0

Vu le peu de faits marquants des Huuhkajat au foot, pas besoin d’aller chercher bien loin le plus grand moment de leur histoire : la qualification à cet Euro ! Celle-ci s’est confirmée après une victoire 3-0 face au terrible Liechtenstein, avec deux buts de l’inévitable Pukki. Alors bon, le match était un peu naze (on l’imagine, on ne l’a bien évidemment pas regardé), mais la portée de l’exploit est immense pour un pays bien plus habitué à briller sur la glace, avec des patins, plutôt que sur le gazon. Notons que pour en arriver là, les joueurs à la croix bleue (ce qui est sacrément ironique comme symbole pour un pays d’alcooliques notoires) ont quand même sorti la Grèce et la Bosnie. Pas des monstres, mais pas le FC Nuvilly non plus.

Le conseil Guide du routard

La Finlande n’existe pas. Il n’y a donc rien à voir là-bas. Vous ne me croyez pas ? Lisez la meilleure théorie du complot de l’histoire !

Si toutefois vous voulez vous rendre dans les pays pensant qu’ils sont la Finlande et qui parlent finnois, le Heidi’s Bier Bar, dans la prétendue Helsinki, vaut semble-t-il le détour. On parle d’un mix assez improbable entre une tente de l’Oktoberfest et une boîte de nuit, le tout avec la puissance destructrice et fêtarde de plusieurs centaines de Finlandais ivres morts qui dansent sur les tables. Alors bon, il vaut sûrement mieux attendre que le Covid ne soit plus à la mode pour vous rendre dans un lieu de débauche pareil, mais notre envoyée spéciale nous affirme que c’est un endroit à ne pas manquer. C’est d’ailleurs dans ce genre de lieux que l’on se rend compte à quel point un Finlandais est différent quand il est sobre de quand il est torché.

Note SOS commentateurs :

5/5.

C’est pas que c’est difficile de commenter un match des Finlandais. C’est que c’est sa mère difficile de commenter un match des Finlandais, la race de sa grand-mère ! Jugez plutôt : Mäenpää, Väisänen, Hämäläinen, Lappalainen, Väisänen encore ou Arajuuri. Sans parler des susnommés Hradecky ou Pohjanpalo. On dirait que même les joueurs aux racines étrangères ont été acceptés dans l’équipe à la complexité du patronyme : Assehnoun, Sparv, O’Shaughnessy… Nos braves Yannik Paratte et autres Pierre Poullier doivent prier pour que la Finlande ne passe pas le premier tour…

 

Crédits photographiques :

Roberto « Alain Berset » Martinez : Mr.Drax/CC0/Wikimedia Commons: https://commons.wikimedia.org/wiki/User:Mr.Drax

Liège : Ariadacapo/CC0/Wikimedia Commons: https://commons.wikimedia.org/wiki/User:Ariadacapo 

Nuuk :Patano/CC0/Wikimedia Commons: https://web.archive.org/web/20161017222557/http://www.panoramio.com/user/2433337?with_photo_id=40229859 

Joel Pohjanpalo :Fuguito/CC0/Wikimedia Commons: https://commons.wikimedia.org/wiki/User:Fuguito 

A propos Joey Horacsek 84 Articles
Bon ça va, je vais pas vous sortir ma biographie

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3 Commentaires

  1. « (…) une équipe de foot constituée en grande partie de joueurs binationaux », ah bon? Merci de m’expliquer, parce que, à ma connaissance, à part Doku et peut-être Carrasco, aucun diable ne possède de double nationalité ou n’a été naturalisé.

    • Alors effectivement, c’est un abus de langage de ma part. J’aurais dû parler de joueurs ayant des racines étrangères. J’avoue que j’ai pas fait de recherches sur l’état des passeports des joueurs des Diables Rouges, donc je te fais confiance pour Doku et Carrasco 🙂

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