A peine sorti du Giro et du Tour de Suisse, voilà que débute la Grande Boucle. Ceux qui n’aiment pas le cyclisme (j’en fais partie) n’osent plus allumer une radio. Malgré tout, il arrive parfois que ce sport puisse faire sourire. Par exemple quand tu apprends que le surnom de Virenque, donné par ses coéquipiers de Festina à l’insu de son plein gré, était Taram, comme « Taram et le chaudron magique ».
Le dernier en date à m’avoir fait marrer est notre compatriote Steve Morabito. Il a abandonné le Tour de Suisse après six étapes. Accident ? Dopage ? Décès d’un proche ? Non. Il a abandonné parce qu’il était fa-ti-gué. J’adore. Remarque, s’il avait fait comme Alan Roura et terminé avec un mois de retard, j’aurais bien ri aussi. Décidément, je dois avoir mauvais esprit.
Mais on discute, on discute, alors qu’il y a un mois de juillet à remplir !
- Après avoir présenté Feyenoord, l’Etoile Rouge, Monaco, Mönchengladbach, le Wisla et la Fiorentina, Olivier Di Lello fait un pas de côté et rend hommage aux centaines de petits clubs du canton.
- Nicolas Huber nous conte les aventures d’un petit chaperon rouge et blanc.
- Valentin Henin continue à nous faire connaître des sportifs de haut niveau qui ont comme seul tort de n’avoir pas choisi un sport médiatisé.
- Grégoire Etienne a été rattrapé par l’actualité et nous a préparé une chronique sur feu Loulou Nicollin.
- Meszigues vous dresse un bilan complet de la sixième journée de qualifications européennes pour le prochain Mondial en Russie.
- Et enfin les inaltérables pigeons du mois, cuisinés avec quelques navets par le colombophile Paul Carruzzo, vous permettront de vous défouler gratuitement sur quelques joyeux bobets. Ça devrait être remboursé tellement ça fait du bien.
On se chope en août ou en septembre, je vois venir le coup que mes zouzous de rédacteurs vont tous partir en vacances et me laisser planté dans mon futal. Ceci dit, si la volée d’août ne paraît pas, je pourrai toujours dire que j’étais fatigué.
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